Formats d’URL JDBC pour les bases de données Oracle

Pour les bases de données Oracle, vous pouvez utiliser comme modèle les exemples d’URL JDBC suivants :

Ce format nécessite un nom d’hôte et une adresse, un port (par défaut 1521) et un nom de service  :
jdbc:oracle:thin:@host:port/service

Ce format nécessite un nom d’hôte et une adresse, un port (par défaut 1521) et un SID (par exemple, « ORCL ») :
jdbc:oracle:thin:@host:port:SID

Ce format est destiné à un client Oracle entièrement configuré avec Oracle Net, ce qui est utile pour la configuration non TCP ou les RAC (clusters d’application réels) Oracle :
jdbc:oracle:thin:@tnsname

DNS et domaine controleur Active Directory

dns-icon

Si votre zone DNS n’est pas dynamique. Il faut vérifier que les enregistrements que le contrôleur de domaine doit envoyer aux serveur DNS soient bien inscrit dans le serveur de nom. Ils sont situés et automatiquement mis à jours par le contrôleur domaine dans son fichier situé ici => c:\windows\system32\config\netlogon.dns Comparer ce fichier avec les enregistrements présent dans le serveur DNS, pour questionner les SRV sous windows tapez cmd

  1. nslookup, puis appuyez sur ENTRÉE.
  2. set type=all, puis appuyez sur ENTRÉE.
  3. _ldap._tcp.dc._msdcs.nom_domaine ENTRÉE.

_ldap._tcp.<DNSNomduDomaine> Pour que les PC localise le DC

_ldap._tcp.<SiteName>._sites.<DNSNomduDomaine> : aidera à déterminé sur quel contrôleur de domaine se connecter si bous êtes en multisite

_ldap._tcp.pdc._ms-dcs.<DNSNomduDomaine>  Détermine le nom du serveur agissant comme PDC

_ldap._tcp.gc._msdcs.<DNSTreeName>  Détermine le nom du serveur Catalogue Global

_ldap._tcp. ._sites.gc._msdcs.<DNSTreeName> Détermine le nom du serveur Catalogue Global, mais cette fois par site

 

Scénario de récupération avec FLASHBACK

flashback

Vérifier que la base de données est en mode « recyclebin on »
SQL>show parameters recyclebin;

SQL>select flashback_on from v$database;
SQL>startup mount;
SQL>alter database flashback ON;

Vérifier la valeur de Flashback rétention normalement 1440 = 24 heures;

SQL>drop table employees;
SQL>flashback table employees before drop;
Scénario de récupération d’une table supprimer.

SQL>flashback table employees before drop rename to nouveauNom;
ou encore pour ne pas écraser si une nouvelle portant le même nom a été créé.

RMAN>flashback database to time = « TO_DATE(‘2013-11-01 17:57:00’, ‘YYY-MMM-DD HH24:MI:SS’) »;

RMAN>flashback database to scn=23565;

RMAN>flashback database to sequence=233 THREAD=1;

SQL>flashback database to timestamp(SYSDATE-1/24);

SQL>flashback database to restore point mass_load_import_table;

Pour passer la base de données en mode Flashback

SQL> Shutdown immediate; (Pas nécessaire sur 11GR2)

SQL>Startup mount exclusive; (Pas nécessaire sur 11GR2)

SQL> Alter system set DB_FLASHBACK_RETENTION_TARGET=2880 scope=both;

SQL> Alter database flashback on;

SQL> Alter database open; (Pas nécessaire sur 11GR2)

Scénario de récupération RMAN

SQL>shutdown immediate;
SQL>startup mount;
rman target / catalog rman@rman
(mot de passe RMAN)
recover database until time ‘2013-01-01:12:57:00’ (Récupération de la base jusqu’à 12h57)
SQL> alter database open resetlogs;

SQL>shutdown immediate;
SQL>startup mount;
rman target / catalog rman@rman
(mot de passe RMAN)
recover database until cancel;
Récupération de la base jusqu’à au point d’arret exemple si un redolog est manquant
SQL> alter database open resetlogs;

SQL>shutdown immediate;
SQL>startup mount;
rman target / catalog rman@rman;
(mot de passe RMAN)
recover database until scn NUMEROduSCN;
Récupération de la base jusqu’à une transaction
SQL> alter database open resetlogs;

SQL> CREATE RESTORE POINT before_mass_load;
RMAN> RECOVER DATABASE UNTIL RESTORE POINT before_mass_load;
Mieux faut prevenir que guérir, prevoir un point de restauration avant un chargement massif de data dans la base;

rman target / catalog rman@rman;
(mot de passe RMAN)
RMAN>shutdown immediate;
RMAN>startup nomount
RMAN>RESTORE CONTROLFILE;
RMAN>shutdown immediate;
SQL>startup mount;
SQL>alter database open resetlogs;
Pour restaurer les fichier de contrôle si utilisation de catalogue, sans catalogue utiliser => RMAN>RESTORE CONTROLFILE FROM AUTOBACKUP;

rman target / catalog rman@rman;
(mot de passe RMAN)
RMAN>RESTORE SPFILE from AUTOBACKUP;
SQL>startup mount;
SQL>alter database open resetlogs;
Pour restaurer le fichier spfile.ora

ssh autologin par clé

shell

Sur le serveur local ou source
ssh-keygen -t rsa
chmod 700 ~/.ssh
chmod 600 ~/.ssh/id_rsa

Sur le serveur distant
chmod 700 ~/.ssh
touch ~/.ssh/authorized_keys
chmod 600 ~/.ssh/authorized_keys
upload de id_rsa.pub dans le reprtoire home cible
cat id_rsa.pub >> ~/.ssh/authorized_keys
vim /etc/ssh/sshd_config
AuthorizedKeysFile (retirer le commentaire sur cette ligne)
service sshd restart

Requêtes sur une base +ASM

Quelques requêtes sur une base ASM:

SQL>select gr.name, t.name, t.stripe from v$asm_diskgroup gr join v$asm_template t using(group_number) where gr.name = ‘NomDUgroupe’;
Permet de voir le type de découpage par modèle de fichier COARSE= Grossier, meilleur débit et FINE=fin plus rapide d’accès.

SQL>select name, path, mount_date, mount_status, header_status, state, sector_size from v$asm_disk;
Avoir quelques infos sur les disques rapide sur les disques.

SQL>select NAME, SECTOR_SIZE, STATE, TYPE, DATABASE_COMPATIBILITY, FREE_MB, TOTAL_MB from v$asm_diskgroup;
SQL> ALTER DISKGROUP NomDuDisqueGroup MOUNT;
SQL> ALTER DISKGROUP NomDuDisqueGroup DISMOUNT;
SQL> ALTER DISKGROUP NomDuDisqueGroup CHECK ALL;
SQL> ALTER DISKGROUP MOUNT ALL;
SQL> select DB_NAME, STATUS, SOFTWARE_VERSION from v$ASM_client;
ASMCMD>lsct #affiche les bases les versions d’oracle et de compatibilité, les status et les disk groups
ASMCMD>lsdg #Affiche des informations sur les groupe de disques
ASMCMD>md_backup /home/user/dgbackup-date -G DATA,FRA,TEST #Sauvegarde les meta-data des structures de stockage.